
TOUCH – NOS ÉTREINTES PASSÉES
28 octobre à 20 h 00 min

Au crépuscule de sa vie, Kristofer, un islandais de 73 ans, se met en tête de retrouver la trace de Miko, son amour de jeunesse. Il s’envole alors pour Londres, à la recherche de ce petit restaurant japonais où ils se sont rencontrés cinquante ans plus tôt. Kristofer l’ignore, mais sa quête, à mesure que les souvenirs refont surface, va le mener jusqu’au bout du monde…
Romance de Baltasar Kormákur
d’après le roman Snerting de Ólafur Jóhann Ólafsson
avec Egill Ólafsson, Kōki, Pálmi Kormákur Baltasarsson, Masahiro Motoki, Yôko Narahashi, Ruth Sheen, Masatoshi Nakamur et Meg Kubota
Sorti le 30 juillet 2025 | Islande | Couleur | 2h01
• Prix du Public | Festival du Film de Cabourg 2025
• 10 Edda Awards 2025 : Meilleur Acteur pour Egill Ólafsson, Meilleur Acteur dans un Second Rôle pour Pálmi Kormákur Baltasarsson, Meilleur Scénario, Meilleure Photographie, Meilleur Montage, Meilleur Son, Meilleure Musique, Meilleurs Décors, Meilleurs Costumes & Meilleurs Maquillages + 3 Nominations : Meilleur Film, Meilleur Réalisateur & Meilleure Actrice dans un Second Rôle pour Yôko Narahashi
+ Séances : Mardi 28/10 à 14H & 20H

FILM À 14H & 20HV.O. I EN EXCLUSIVITÉCLASSÉ ART & ESSAI
La Presse en parle
« Ce mélo sensible appuie avec délicatesse sur la corde de l’émotion. Une réussite. », ELLE
« Il y a quelque chose de profondément proustien dans ce film intimiste, émouvant et littéraire. », LE FIGARO
« Entre l’époque contemporaine et les années 1970, de l’Islande au Japon en passant par Londres, le cinéaste de Reykjavik réussit une bien jolie romance et un poème sur la solitude des îles. », LES ÉCHOS
« Plus que par sa mélancolie, ce mélo touche par sa quiétude. Sa force émane aussi de sa capacité à relier l’intime à la grande histoire, en évoquant magnifiquement les conséquences de la tragédie de Hiroshima, il y a quatre-vingt ans. », TÉLÉ 7 JOURS
« En épurant sa mise en scène, l’auteur […] réussit sa parenthèse, loin de l’outrance de ses derniers projets outre-Atlantique. De ces blessures dont on ne guérit jamais, il en tire un portrait délicat où la tendresse n’est pas feinte, et où les rendez-vous manqués ne sont pas synonymes de fatalité. », ABUS DE CINÉ