
LE RIRE ET LE COUTEAU
18 décembre à 20 h 00 min

Sergio voyage dans une métropole d’Afrique de l’Ouest pour travailler comme ingénieur environnemental sur la construction d’une route entre le désert et la forêt. Il se lie à deux habitants de la ville, Diara et Gui, dans une relation intime mais déséquilibrée. Il apprend bientôt qu’un ingénieur italien, affecté à la même mission que lui quelques mois auparavant, a mystérieusement disparu…
Drame de Pedro Pinho
avec Sérgio Coragem, Cléo Diára, Jonathan Guilherme, Jorge Biague, Binta Rosadore, Nastio Mosquito, Giovanni Maucieri, Marçalina Djibril, Roxana Ionesco, Marinho de Pina, João Santos Lopes, Hermínio Amaro, Paulo Leal, João Pedro Sousa, Hamed Nah, Renato Sztutman, Bruno Zhu, Kody Mccree et Valentina Cirelli
Sorti le 9 juillet 2025 | Portugal/France/Roumanie/Brésil | Couleur | 3h31
• Prix d’Interprétation Féminine – Un Certain Regard pour Cléo Diára | Festival de Cannes 2025
• Sélection Flash Forward | Festival de Busan 2025
• Sélection Main Slate | Festival de New York 2025
• Louve d’Or du Meilleur Long Métrage de la Compétition Internationale | Festival du Nouveau Cinéma de Montréal 2025

FILM À 20H DIRECTVOSTF I EN EXCLUSIVITÉCLASSÉ ART & ESSAIAVERTISSEMENT
La Presse en parle
« La sublime idée du film est de conjuguer la déconstruction du néocolonialisme qu’il incarne avec celles du patriarcat, des normes de genre, du racisme et du classicisme, et ce, sans jamais tomber dans une forme de didactisme édifiant. », LES INROCKUPTIBLES
« Rarement film a su si bien allier la littéralité la plus dépliée à une ambiguïté de tous les instants. Le Rire et le couteau, ce qui se dit et ce qui se vit. », LIBÉRATION
« La durée du film démultiplie ses espaces, frotte la fiction si ce n’est au document ethnographique, du moins à des séquences où l’on sent combien la vie des acteurs bissau-guinéens préexiste au récit qui l’encadre. », LES CAHIERS DU CINÉMA
« En contrariant les actions de Sergio, Pinho ne cesse de mettre en échec la possibilité d’une fiction néocoloniale. En découle une narration accidentée et indolente, qui maintient le personnage dans un état d’hébètement. », CRITIKAT
« La beauté envoûtante du film tient précisément à son art de l’esquisse et de la déambulation, à sa manière érectile de cartographier un monde inconnu via les rencontres et les heureux hasards (ou pas). », L’OBS
