LOVE ME TENDER

Une fin d’été, Clémence annonce à son ex-mari qu’elle a des histoires d’amour avec des femmes. Sa vie bascule lorsqu’il lui retire la garde de son fils. Clémence va devoir lutter pour rester mère, femme, libre…

Drame de Anna Cazenave Cambet
d’après le roman Love Me Tender de Constance Debré

avec Vicky Krieps, Monia Chokri, Antoine Reinartz, Viggo Ferreira-Redier, Féodor Atkine, Aurélia Petit, Ji-Min Park, Oumnia Hanader, Tallulah Cassavetti, Manuel Vallade, Julien de Saint-Jean, Salif Cissé, Malou Khebizi, Jean-Baptiste Durand, Baptiste Carrion Weiss, Pauline Lorillard, Samantha Le Bas et Adam Hegazy

Sorti le 10 décembre 2025 | France | Couleur | 2h13

• Sélection Officielle Un Certain Regard | Festival de Cannes 2025

• Prix du Jury Jeunesse | Festival de Cabourg – Journées Romantiques 2025

• Nomination Meilleure Actrice Européenne pour Vicky Krieps | European Film Awards 2025

• Nomination Meilleure Actrice pour Vicky Krieps | Prix Lumières de la Presse Internationale 2026

FILM À 20HVF I EN EXCLUSIVITÉCLASSÉ ART & ESSAI

La Presse en parle

« Grâce à la grâce grave de Vicky Krieps et à la mise en scène délicate de Cazenave Cambet, le film devient un geste politique sans slogan, un manifeste intime sur l’autonomie des corps et des affections. », CULTUROPOING

« En ne craignant jamais de s’appuyer sur la longueur, le film immerge le spectateur dans son chaos. À la fois épuré et romanesque (les virées chez un père malade dans un Sud-Ouest solaire), il questionne, certes, le refus de la norme bourgeoise et la maternité, mais capte d’abord les gestes de Clémence, ses doutes, ses failles, son refus d’abdiquer. Bref, sa droiture d’une fulgurante beauté. », L’OBS

« Anna Cazenave Cambet adapte le livre autobiographique de Constance Debré sans en effacer la radicalité, mais en y insufflant romanesque et sentimentalité. Une réussite. », LE MONDE

« Un magnifique drame sur un sujet de société très actuel, distillant des scènes tantôt sublimes, tantôt bouleversantes. », LE PARISIEN

« Avec cette adaptation plus douce que le texte d’origine, Cazenave Cambet livre un film fort, qui éclaire ces violences silencieuses sans jamais forcer le trait. », LE POINT