MY SUNSHINE
4 février à 20 h 00 min
Sur l’île d’Hokkaidō, l’hiver est la saison du hockey pour les garçons. Takuya, lui, est davantage subjugué par Sakura, tout juste arrivée de Tokyo, qui répète des enchaînements de patinage artistique. Il tente maladroitement de l’imiter si bien que le coach de Sakura, touché par ses efforts, décide de les entrainer en duo en vue d’une compétition prochaine… À mesure que l’hiver avance, une harmonie s’installe entre eux malgré leurs différences. Mais les premières neiges fondent et le printemps arrive, inéluctable…
Drame de Hiroshi Okuyama
avec Sōsuke Ikematsu, Keitatsu Koshiyama, Kiara Nakanishi, Ryuya Wakaba, Yunho et Yamada Maho
Sorti le 25 décembre 2024 | Japon/France | Couleur | 1h30
• Sélection Officielle Un Certain Regard | Festival de Cannes 2024
• Sélection Centrepiece | Festival de Toronto 2024
• Sélection Zabaltegi-Tabakalera | Festival de San Sebastián 2024
• Sélection Teen Spirit, Teen Movie | Festival de Busan 2024
FILM 20HV.O. I EN EXCLUSIVITÉCLASSÉ ART & ESSAI
La Presse en parle
« Le jeune réalisateur japonais (il n’a pas 30 ans), en plus de confirmer son talent pour dénicher et diriger des enfants comédiens – ici avec un duo de jeunes acteurs d’une grande justesse – affirme une écriture cinématographique singulière et pleine de promesses. », FRANCEINFO CULTURE
« Grâce à ses interprètes et une mise en scène coton, My Sunshine est un récit d’apprentissage tendrement rude dans les thématiques qu’il aborde. », L’HUMANITÉ
« Hiroshi Okuyama a la délicatesse de ne jamais s’appesantir, préférant nimber ses personnages d’une part de mystère qui laisse au spectateur une place pour l’interprétation. », LE FIGARO
« Sous des dehors enfantins accueillants, c’est une véritable petite expérience d’équilibrage social qui se profile ici, de celles auxquelles la société se dérobe trop souvent. », LE MONDE
« Hiroshi Okuyama se penche sur le passage de l’enfance à l’adolescence dans un récit plein de finesse, où la complicité des protagonistes se heurte à une sourde pression sociale. », LES FICHES DU CINÉMA
« Tout le film se tient avec grâce sur cette ligne de crête mélancolique, celle des amours impossibles, que ce soit pour des raisons sociales ou de non réciprocité. », TRANSFUGE